Découvrez l’incroyable destin de Thérèse du Parc, dite Marquise, comédienne de la troupe de Molière.

Paris, 1668 – Théâtre de l’Hôtel de Bourgogne.
Marquise se prépare à jouer Andromaque de Racine lorsque le Lieutenant Général de la police entre dans sa loge pour l’interroger, sur ordre du Roi…
Dès lors, cette enquête nous dévoile l’extraordinaire parcours de cette fille du peuple qui a fasciné les hommes les plus illustres de son temps : Molière, Corneille, Racine, La Fontaine, D’Artagnan ou encore Louis XIV !

Un texte hybride, en vers et en prose, nous entrainant de Pézenas à Rouen, puis du Louvre au Château de Vaux-Le-Vicomte. L’interrogatoire de Marquise se poursuit…

Qui, mieux que Marquise, pouvait répondre à cette question qui alimente toujours les discussions : Corneille a-t-il écrit les pièces de Molière ?

« Coup de cœur » — DAUPHINÉ
« Pépite du festival » — COUP DE THÉÂTRE
« Une mise en scène brillante » — OUEST FRANCE

Nikos a aimé Gioconda.

Nikos a aimé Gioconda et il faut le dire, le chanter, le crier encore et encore. Hurler le silence et la joie des peaux. Un piano, deux voix, des mots qui dansent. Partir dans leur histoire, c’est rencontrer la nôtre.
A l’heure où le monde réfugie à nouveau ses angoisses dans l’extrémisme,
Où la Shoah glisse doucement dans l’oubli,
Où la pornographie laisse croire que toute femme soumise se satisfait de l’être,
Où l’avenir grince, où la planète gémit,
Briser la nuit d’un éclair de vie pure.

Ils sont voisins, amis d’enfance. Ils jouent, grandissent, leurs corps changent… mais le monde aussi. Tandis que la peur et la menace imposent leurs urgences, deux adolescents dévorent jusqu’au moindre instant qui passe.

D’après ‘Gioconda’, récit d’une histoire vraie signée Nikos Kokantzis.
Adaptation par Cliff Paillé.

Scènes conjugales propose une promenade vivifiante du XVIe siècle à nos jours, dans le paysage mouvementé des scènes conjugales, un exercice de style impertinent à travers les textes de Shakespeare, Molière, Courteline, Ibsen, et Ingmar Bergman, agrémentés de nos propres textes.

Nous avons choisi quelques figures théâtrales de femmes à la conquête de leur liberté – celle qui se rebelle, celle qui cherche à échapper à la domination masculine ou à son devoir imposé d’épouse ou de mère, celle qui ne veut pas se résigner à voir la relation amoureuse dépérir… – que nous explorons à travers différents genres : comédie, vaudeville ou drame.
D’une scène à l’autre, un homme et une femme parcourent les siècles et les situations de couple. Entre amour, désamour, désirs, jalousie et liberté, les tensions sont palpables, la relation prête à se rompre.

« Pas une seule fausse note. Courrez voir cette pièce que du bonheur ! » La MARSEILLAISE
« La puissance du récit force le respect… Les deux comédiens sont vraiment habités. » J. L. JEENER
« La mise en scène toute en sobriété de MF et JC Broche sublime le très beau texte de É-E Schmitt dont ils ont su faire une adaptation brillante. » FROGGY’S DELIGHT
« Les deux comédiens servent avec une intensité et une émotion rares ce magnifique texte . » Le JDD
« Un petit bijou d’écriture… » TICKETAC.COM
« Deux comédiens tout à fait remarquables. » La LICRA
« Ce spectacle est une ode à l’humanisme, dont nous sortons profondément touchés. C’est beau, très beau ! À voir sans hésitation » SPECTACTIF

Pour le 50ème anniversaire de la mort de Jean GIONO nous avons souhaité lui rendre un vibrant hommage à travers 5 de ses plus beaux textes. En 1992 avec le spectacle « L’homme qui plantait des arbres » nous avions rencontré un succès international reçu le soutien de l’ONF et le prix « Fondation Ushuaïa », nous semions déjà la parole humaniste et écologique de GIONO.
Bernard Thomas, au Canard Enchaîné écrivait : « On est pris, émus, transporté… et on se désaltère à ce retour aux sources. Bon Dieu, qu’est-ce que ça fait du bien! » Aujourd’hui ces 5 nouvelles sont un hymne à la nature, de portée universelle. Elles transpirent l’humanité viscérale de GIONO.

Avec précision et talent les deux comédiens, incarnent plus d’une dizaine de personnages hauts en couleur dans une mise en scène sobre et délicate.

– 22 mars 1794 –
Ultime face à face, duel à mort entre Danton et Robespierre, ces deux figures de proue de la révolution française qui sont se sont aimées, détestées, respectées et qui espéraient un nouveau monde, plus juste et équitable.
Leur affrontement va décider de l’avenir de la France mais aussi de leur avenir personnel. À l’ombre de la guillotine s’ouvre une lutte fratricide autour des valeurs de liberté et d’égalité, éclairées par un espoir fou de fraternité.
Un texte d’une actualité troublante, où tout est historiquement vrai…et le reste est vraisemblable.
Un lien entre présent et passé, vieux et nouveau monde. Et pour les incarner, deux corps, deux identités, féminine et masculine, le choc de deux intelligences concevant les racines de notre liberté.

« JE VAIS ME PAYER HITLER ! »

Chaplin le trouve ridicule, dangereux, et le devine fou. Et en plus, ce crétin mal coiffé a osé lui voler sa moustache. Le scénario est en cours, les idées nombreuses.
Entre émotion, tension et humour, cette période de création bouillonnante va plonger l’artiste dans une véritable tempête intime, aussi violente qu’inattendue.
Face au sosie de Charlot.
Face à son épouse et à son frère Sidney.
Face au cinéma parlant, à l’arrivée de la couleur.
Face à son passé, son présent, ses mensonges.

« Une grande intelligence de l’Histoire» Gilles Costaz, du Masque & la Plume
Par l’auteur et l’équipe de Mme Van Gogh, coup de cœur club de la presse 2019 et d ‘Un soir chez Renoir’, immense succès OFF 2019 !

AU LUCERNAIRE À LA RENTRÉE DE SEPTEMBRE

Lors d’une de ses visites au Louvre, Lisa, jeune artiste peintre, et son frère Léo vont être transportés 500 ans en arrière par l’intrigante Joconde…
Ce voyage fantastique et musical en pleine Renaissance italienne va être l’occasion pour eux de rencontrer et côtoyer le grand maître Léonard de Vinci.
Parce que le présent se nourrit de l’héritage du passé et que la transmission est essentielle, Lisa et Léo ne seront plus jamais les mêmes après cette rencontre unique.

« Du théâtre musical de très belle facture avec des moments de comédie pure et une réflexion sur le savoir et la vie, une jolie et joyeuse quête initiatique qu’on suit telle une rêverie, douce, folle et drôle » LE PARISIEN.

« …ce retour dans le temps ne manque pas de saveurs : ton de la comédie, personnage de Mona Lisa, intrépide, jovial et généreux, forme de théâtre musical qui sait harmoniser spectaculaire (belle scénographie et création vidéo) et moments plus poétiques » TELERAMA.

Quatre amis qui se sont connus au lycée se retrouvent après plusieurs années d’absence à l’enterrement de Charlotte.
À la suite de cet événement tragique, ils décident de partir ensemble à la campagne pour revivre leur adolescence. La gentille virée creuse alors les failles laissées par les années d’absence. Le temps d’un week-end, ils vont s’apprivoiser, se séduire, se déchirer, toujours hantés par le souvenir de Charlotte.
Cette pièce, qui mêle adroitement humour et poésie, nous parle d’une jeunesse perdue dans la société d’aujourd’hui. A travers leur amitié passionnée, les quatre protagonistes finiront par se frayer un chemin de l’enfance à l’âge adulte.

Dernière Fête à reçu le prix Acquaviva en 2018, En 2019 Prix d’interprétation féminine pour Camille Arrivé au Festival de Cabourg et le Grand Prix du Jury au Festival de Cabourg.

« Ce spectacle s’adresse à ceux qui laisseront libre cours à leur ressenti et leurs émotions. Les acteurs jouent avec sobriété et beaucoup de justesse. On en sort bouleversés » LA PROVENCE

« La mise en scène est remarquable, les comédiens touchant, tant dans les moments d’humour que dans leurs instants de détresse » L’EST-ECLAIR 

SUCCES OFF 2019 !

Oubliez la légende et découvrez une fantaisie historique à la croisée des Monty Python, de Sergio Leone et de Buster Keaton.

Après « Le Titre est dans le Coffre », succès Avignon off pendant 4 ans, le quatuor du Théâtre du Faune fait un retour fracassant !

« Un quatuor qui nous a fait rêver avec son précédent spectacle « Le titre est dans le coffre« . Là encore le pari est tenu. Le spectacle est abouti et on passe un excellent moment. » Le DAUPHINÉ
« Une épopée de cape et sans épée, décapante et décalée. » FRANCE BLEU
« 4 comédiens époustouflants ! » LE PARISIEN
« Dynamique, inventif et cocasse. Une pièce qu’il faut voir en famille. » REG’ARTS
« Hilarant et plein de rebondissements ! » ETVOUS.FR

1912, Stéphanie St Clair âgée de 26 ans, n’a qu’une idée en tête : fuir son île natale de la Martinique « pour devenir quelqu’un ». Elle traverse l’Atlantique, s’installe à Marseille, puis s’embarque pour New-York. Bien que noire, pauvre et fluette elle affronte avec un courage hors du commun, la mafia blanche et la pègre noire pour se hisser en haut de l’échelle sociale.
Elle devient la puissante patronne de la loterie clandestine de Harlem.

Véritable icône aux Etats Unis, madame Queen dite « Queenie », est une figure emblématique de la cause noire et féministe.
Un récit haletant qui interroge sur la capacité de chacun à se réinventer

« Extrêmement bien joué… pièce passionnante à regarder » LEMADIAPART
« Isabelle Kancel passe de la Stéphanie St Clair âgée à celle des années Harlem avec une aisance déconcertante » LE BRUIT DU OFF
« Une prestation magistrale d’Isabelle Kancel, Reine de Harlem ! » VAUCLUSE-MATIN
« Isabelle Kancel a ébloui les spectateurs de la scène nationale dans une remarquable interprétation qui a impressionné le public – Résolument moderne, le texte délivre un message fort sur la quête d’émancipation et de reconnaissance » FRANCE-ANTILLES 

Nous sommes au Philharmonique de Genève, dans la loge du chef d’orchestre de renommée internationale H.P Miller. A la fin d’un de ses concerts, ce dernier est importuné à maintes reprises par un spectateur envahissant, Léon Dinkel, qui se présente comme un grand admirateur venu de Belgique pour l’applaudir.

Cependant, plus l’entrevue se prolonge, plus le comportement de ce visiteur devient étrange et oppressant… Qui est donc cet inquiétant Monsieur Dinkel ? Que veut-il réellement ?

Un face à face poignant où aucun des personnages ne sortira indemne.

« Une vraie pépite théâtrale » FIGAROSCOPE
“Une pièce écrite de façon magistrale.” THÉÂTRE AND CO
“Une partition intense et sans couac » LE PARISIEN
“La fin est royale. Que d’émotion, quelle belle histoire.” RegArts
« Fausse note est la pièce qu’il faut voir de toute urgence » TATOUVU
« Une superbe plume magistralement servie par le jeu des acteurs » LA PROVENCE

Décembre 1982. Il a 34 ans, elle en a 70. Il est jeune médecin, elle est une figure incontournable du monde de la danse. Lors d’une soirée de gala à l’opéra Garnier, leurs mains se frôlent… Elles ne se quitteront plus.
De cette imprévisible rencontre naîtra un amour singulier et merveilleux. Hors des sentiers battus de l’existence, un tourbillon de grâce, de beauté et de poésie emportera ces deux âmes sœurs, par delà les épreuves de la vie et de la mort.

« Là où je vais, je vous emporte avec moi »
Un hymne à l’amour absolu inspiré d’une histoire vraie.

« Une histoire belle et touchante » FIGAROSCOPE
« Un oasis de bonheur s’offre à vous » La THÉÂTROTHÈQUE
« Un spectacle merveilleux et touchant, éblouissant et tendre » SPECTATIF
« Un entêtant battement de cœurs » WEBTHÉÂTRE

Homme d’affaires, fumeur invétéré, passionné de vieilles voitures, amoureux fou de sa femme et veuf ! Edouard Carr se raconte… Il raconte l’histoire ordinaire d’un fou d’amour. Tantôt avec rudesse, tantôt avec cynisme, souvent avec humour – comme s’il réfléchissait à voix haute. Sans chercher la belle phrase, dans une langue plus parlée qu’écrite.
Carr raille l’attitude compassée des voisins et amis venus lui adresser leurs condoléances. Il dissèque ses propres sentiments d’enfant abandonné, trimballé de famille d’accueil en famille d’accueil, cette volonté qui l’a poussé dès l’adolescence à rechercher sa mère et surtout, il détaille avec force les liens fusionnels qui les ont unis Marie-Jo et lui, dès la première rencontre.

Mot après mot, le discours se précise. Parfois, plein de rage devant sa propre impuissance face aux injustices de la vie et de la mort, parfois vulnérable et fragile comme l’orphelin qu’il demeure, fasciné d’avoir, un jour, rencontré un amour si grand. Jusqu’à la révélation qui met en lumière la dimension unique du personnage de Carr et le relie aux mythes grecs…

Un studio de radio désuet et décrépit, des instruments partout.
C’est le début de l’émission musicale : « Voyage aux Pays du Jazz ».
Les présentateurs semblent paniqués quand ils se retournent : un public est assis là qui les regardent. « Mais c’est impossible! » Et pourtant c’est trop tard… Nous voilà embarqués dans une virtuose déferlante de musique et de maladresses, traversant l’histoire du Jazz entre hallucinations et réalité, du blues au funk en passant par le bebop.

Dans une symphonie d’instruments, ces passionnés inadaptés feront l’impossible pour tenter de plaire : chanter, danser, jouer, donner.