Deux famille égales en noblesse,
 dans la belle Vérone où nous plaçons notre scène se déchirent à nouveau pour d’anciennes querelles, ou le sang des citoyens souille les mains de tous. Des funestes entrailles de ces deux ennemis sont nés deux amoureux maudits par les étoiles, dont le destin tragique et lamentable
 doit ensevelir dans leur tombe, les haines ancestrales. Le terrible chemin de leur mortel amour et la haine héréditaire que se vouent leurs parents, peuvent seulement par la mort être apaisés.

Si vous nous prêtez une oreille attentive, nos efforts tenteront d’affaiblir nos défauts.

Un casting différent à chaque représentation, décidé par le public, incluant des variations de combinaisons de genres font de ce Roméo & Juliette une célébration de l’amour sous toutes ses formes.
Alors qu’á l’époque de Shakespeare, tous les rôles étaient interprétés par des hommes, aujourd’hui, la compagnie Les Divergents questionne l’amour au-delà du genre, et des normes sociales en offrant la possibilité au public d’écrire sa propre histoire d’amour grâce à son choix de distribution.

« Nous sommes tous des ratés, du moins les meilleurs d’entre-nous » James Matthew Barry

Ils sont tous deux clochards mais aussi le reflet comique de ces êtres déguenillés, lassés, usés. Ce qu’ils font là? Rien, deux fois rien, ils sont assis, là. Deux clowns qui créent le malaise entre la légèreté de l’enfance et le poids de la dureté du monde auquel ils se confrontent. Maladroits, lunatiques, naïfs et sans parole, ils ont la gestuelle et la sensibilité des personnages de cinéma muet, faisant aller et venir le spectateur entre l’histoire en noir et blanc d’autrefois et le drame d’aujourd’hui. Entre danse, mime et clown, un instant burlesque où le mouvement fera récit, le geste sera mot et les émotions deviendront danse.

« “Deux rien” s’affranchit des mots au profit de la gestuelle et de l’expressivité des corps, à travers le clown, le mime et la danse. Un spectacle burlesque, d’une extrême humanité et tendresse. » — TÉLÉRAMA
« Un petit bijou de théâtre dansé » — LA TERRASSE
« Petits et grands rient et s’émeuvent. Humour enfantin et profonde gravité se mêlent finement » — DORDOGNE LIBRE
« Ils emportent l’assemblée dans une épopée magique » — LA CROIX

« Je n’ai rien de toi. Plus d’enfant, pas un mot, pas une ligne, pas de place dans ta mémoire. »

Qui est-elle, cette inconnue qui au chevet de son enfant mort, écrit à l’homme qu’elle aime depuis toujours ? Une jeune fille solitaire ? Une femme devenue mère dans le secret ? Une prostituée qui ne dit pas son nom ? Et d’ailleurs, le sait-elle seulement ?

L’histoire qu’elle lui confie est pourtant la sienne. Celle de son amour absolu et secret. De son obsession aussi. L’obsession de lui. L’histoire de celle qu’elle est devenue parce qu’il ne l’a jamais reconnue : une femme sans âge, sans visage et sans nom, qui s’est lentement effacée aux yeux du monde.
Car ne pas exister dans son regard à lui, c’était n’exister dans celui de personne.

« Seule compte la première place. Au tennis, être deuxième, c’est comme être dixième.”
John McEnroe

Nous sommes à l’orée du 20ème siècle : l’automobile et l’aviation sont à leurs débuts. Chaque semaine de nouveaux records d’altitude, de vitesse et de distance sont battus.
Destiné à suivre les pas de son père avocat, Danlor, séduit par ces machines fascinantes, préfère se lancer et jouer sa vie en relevant ces nouveaux défis. Au départ, c’est une aventure entre copains : rouler plus vite, voler plus loin, monter plus haut. Puis la rage de dépasser les limites s’empare de lui – il veut être le meilleur. Tout lui réussit. Il devient même la coqueluche de Paris et son rêve prend forme : son nom s’inscrira dans l’histoire des hommes, parmi ceux qui ont bravé l’impossible. Danlor, arriviste et charmeur, n’a peur de rien.

Jusqu’où poussera-t-il son appareil ?
Quelle ligne franchira-t-il ?
Réalisera-t-il à temps ce qu’il risque de sacrifier ?

L’insolence et une obsession aveugle attisent le moteur de l’hélice qui nous projette dans une histoire d’aventures rocambolesques.

Un clown, un sac et du Flamenco.
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Sur un quai de gare, un clown attend son train. Un mystérieux sac abandonné retient toute mon attention. Méfiant et curieux à la fois, il ne peut s’empêcher de l’ouvrir… Grâce aux trésors qu’il contient, un autre voyage commence alors, inattendu, burlesque et poétique à la découverte de l’univers puissant et mystérieux du flamenco.
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Olé! : comme un cri fédérateur est le seul mot ou presque prononcé par ce clown à l’imagination sans limite…
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Olé! est un spectacle clownesque et ultra rythmé en pays Andalou. La danse et le clown se confrontent, se cherchent et se mélangent dessinant un itinéraire fait de dérision, de poésie et d’humour.
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Vision implicite et décalée du flamenco, Olé! est une initiation aux codes de cet art trop souvent méconnu.

« Un pur moment de poésie. Elodie Hatton, clown drôle et sensible joue à merveille sur des registres très différents et nous emmène avec grâce à travers un voyage immobile à la découverte du flamenco » — FIGAROSCOPE
« Une union aussi poétique que puissante » — NICE MATIN
« Prodigieusement maladroite » — LA PROVENCE
« Une artiste originale, pleine de ressources, de créativité, qui joint à une maîtrise corporelle étonnante un sens de la dérision, du comique et de la narration » — REG’ARTS

– 22 mars 1794 –
Ultime face à face, duel à mort entre Danton et Robespierre, ces deux figures de proue de la révolution française qui sont se sont aimées, détestées, respectées et qui espéraient un nouveau monde, plus juste et équitable.

Leur affrontement va décider de l’avenir de la France mais aussi de leur avenir personnel. À l’ombre de la guillotine s’ouvre une lutte fratricide autour des valeurs de liberté et d’égalité, éclairées par un espoir fou de fraternité.

Un texte d’une actualité troublante où tout est vrai… et le reste est vraisemblable.

« Tels deux grands carnassiers qui se reniflent avant de s’entretuer, les deux comédiens passionnent le public » — Le JDD
« Les deux comédiens sont parfaitement distribués. C’est un vrai duo de théâtre qui joue ensemble, tour à tour empathiques, revanchards, ou emportés par la folie » — LA PROVENCE
« On est ébahi devant la performance de Nathalie Mann qui nous offre un Robespierre puissant » — LES CHRONIQUES de Mr N
« Hugues Leforestier est génial en Danton » — REG’ARTS

Pour le 50ème anniversaire de la mort de Jean GIONO nous avons souhaité lui rendre un vibrant hommage à travers cinq de ses plus beaux textes.
5 nouvelles dans lesquelles l’arbre est au centre.

Elles transpirent l’humanité viscérale de Giono.

« C’est vif, enlevé, Patrice Dehent et Laurent Feuillebois sont magnifiques, justes, ils investissent les personnages, la voix bien posée, la présence adéquate. Les spectateurs venus très nombreux ont longuement applaudi » — REG’ARTS
« De merveilleuses nouvelles portées par les 2 comédiens qui nous offrent en quelques traits griffés avec justesse et intelligence toute une charrette de personnages, Bravo ! » — WEBTHEA
« Giono avait compris l’importance de l’écologie. Ses mots sont une ode à la nature. Les 2 comédiens qui incarnent une dizaine de personnages hauts en couleur, avec humour et émotion, nous enchantent. Une ovation bien méritée » — CLASSIQUEENPROVENCE.COM
« Quelle truculence ! quelle exaltation ! Quel envoûtement ! Venez vite découvrir ou redécouvrir Giono servi par une très belle interprétation. » — LA MARSEILLAISE

Lors d’une de ses visites au Louvre, Lisa, jeune artiste peintre, et son frère Léo vont être transportés 500 ans en arrière par l’intrigante Joconde…
Ce voyage fantastique et musical en pleine Renaissance italienne va être l’occasion pour eux de rencontrer et côtoyer le grand maître Léonard de Vinci.
Parce que le présent se nourrit de l’héritage du passé et que la transmission est essentielle, Lisa et Léo ne seront plus jamais les mêmes après cette rencontre unique.

« Du théâtre musical de très belle facture avec des moments de comédie pure et une réflexion sur le savoir et la vie, une jolie et joyeuse quête initiatique qu’on suit telle une rêverie, douce, folle et drôle » — LE PARISIEN.
« …ce retour dans le temps ne manque pas de saveurs : ton de la comédie, personnage de Mona Lisa, intrépide, jovial et généreux, forme de théâtre musical qui sait harmoniser spectaculaire (belle scénographie et création vidéo) et moments plus poétiques » —TÉLÉRAMA.

Un portrait de femme mais aussi d’une mère, celle de la metteuse en scène, traversant l’Algérie d’avant l’indépendance, les années de Gaulle et les débuts du féminisme.

Aujourd’hui, la Radio Amicale du Soleil, « radio de tous les rapatriés d’Algérie », rend hommage à Carmen Sintès, figure emblématique du quartier. Diffusée en direct, l’émission rassemble autour de la table et de sa présentatrice Rosa Crémieux plusieurs invitées qui ont bien connu Carmen : Jeannine, sa meilleure amie depuis les années de jeunesse en Algérie et une invitée surprise, l’autrice Angèle Dériaut. Durant plus d’une heure, Rosa et sa jeune chroniqueuse Mathilde se livrent à un travail d’enquête, déroulant l’histoire d’une femme ordinaire, prise dans des événements tragiques, intimes et politiques.

Une forme réjouissante et généreuse qui met en écho les années 60 et le monde contemporain.

« Le direct radio est savoureux, naviguant entre présent et passé, flash-backs de 1960 et 1968, archives sonores et rubriques actuelles, puis l’émission se décale, et Carmen surgit. Chacune des quatre actrices en incarne un éclat. […] Le spectacle pétillant, sous couvert ludique, convoque les blessures intimes pour les dépasser » — Véronique Hotte, HOTTELLO

Nous sommes en 1926, sur fond de naissance du jazz et du combat des Suffragettes pour faire entendre le droit des femmes, le mari d’Agatha Christie lui annonce sa volonté de divorcer. Il est amoureux de sa dactylo et souhaite l’épouser.

Folle de douleur, Agatha Christie balance sa Morris Cowley – eh oui, elle a son permis ! – dans le lac de Silent Pool.

Qu’est-il advenu de la célèbre romancière ? Scotland Yard est sur les dents, soupçonne le mari de la romancière de l’avoir assassinée. La vie d’Agatha Christie se transforme alors en un roman à rebondissements dont la reine du Crime veut réussir tous les chapitres !

Une comédie tout public et sociétale, hymne à l’amour et aux femmes de caractère.

Les errances d’un type sans scrupules, Etienne Ferrari, cadre supérieur chez Univergate, fauché en pleine ascension et dont la vie bascule dans une chute vertigineuse.

VIRÉ, IL EST PRÊT À TOUT POUR REBONDIR.

Etienne Ferrari se livre, non pas directement au spectateur, mais à cet homme étendu là, Jack, qui est devenu “accidentellement” son confesseur d’un soir. Personne ne l’a jamais écouté de cette manière. Il parle sans s’arrêter, livre son passé avec tendresse, humour et rage.

UNIVERGATE est à la croisé de deux mondes : mythologique (Zeus, Icare, Sisyphe l’Hadès) et notre monde actuel (Google, Amazon, Facebook) où les dérives de notre Société, qui marche littéralement sur la tête, sont exacerbées. C’est une pièce sans concession décalée, drôle et féroce. Une œuvre toute aussi délirante que pertinente, qui résonnera pour beaucoup comme un écho sur la situation de notre Monde.

Hiver 1877

Renoir, Monet, Morisot, Degas et Zola préparent, dans l’amitié et la bonne humeur, la 3eme expo indépendante du groupe. Les critiques sont violentes, assassines, et leurs toiles ne se vendent pas.
Faut-il s’entêter ou rejoindre le Salon Officiel, antre de l’Art politiquement adoubé ?
Les idéaux artistiques c’est bien beau, mais il faut bouffer et payer son loyer. Certains le peuvent, d’autres pas. Et le vernis de l’amitié craque. Entre sourires et coups de sang, le débat glisse et bascule.

Et vous, qu’auriez-vous fait à leur place ?

« Perle du Off 2019 » — ARTISTIK REZO
« Coup de Cœur – Spectacle fin, élégant, intelligent » — LA PROVENCE
« Sorte de ART de Y. Réza, Beau, somptueux et virtuose » — VAUCLUSE MATIN

Imaginez que vous appreniez, à 50 ans, que vous aviez été adopté ?

C’est le début pour Gaëlle d’une quête de soi et de la recherche de celle qui l’a mise au monde.
Et, au bout du chemin….

ENTRE RIRE ET LARMES,UN VOYAGE INITIATIQUE ET BOULEVERSANT POUR DECOUVRIR QUI L’ON EST, ET EXISTER, ENFIN.

Cette histoire si forte, si puissante dans sa démesure affective, chavire profondément. Elle secoue l’âme car elle touche à ce que nous avons de plus précieux : la capacité d’aimer, la nécessité d’être aimée, le besoin éperdu d’être reconnue… La recherche de ce premier regard d’amour posé sur soi.

« Nathalie Mann, totalement investie, nous emporte dans un superbe voyage. La rencontre d’un texte bouleversant et d’une comédienne d’exception. Un régal » — RÉGIS MARDON, M6
« La pièce vous prend au tripes, la comédienne vous coupe le souffle » — LE COMÉDIA

Erwan est romancier et passionné de rock.
Le 13 novembre 2015, il se retrouve piégé au Bataclan. Il en sort blessé par balles, aux fesses. A l’hôpital, son obsession – « Vais-je rebander un jour ? » – tranche avec la préoccupation de son entourage : “Tu dois partager“.

Stylo en main, Erwan s’embarque dans un voyage qui l’emmènera bien au-delà de ce qu’il avait imaginé. « Le corps ne se retape pas sans amour, il faut lui donner une raison de lutter ».

Aujourd’hui, Erwan vit.

« Une ode à la vie après le chaos » — Stéphanie Berthou, SÉSAME EVENTS
« Une pièce coup de cœur et coup de poing » — Eva Bonnefoy, PRENDS TA PLACE
« 13 parvient à nous transmettre l’essentiel, sans pathos, avec sensibilité et humour : le corps ne se répare pas sans amour » — Hoël Le Corre, UN FAUTEUIL POUR L’ORCHESTRE
« Un excellent spectacle qui vient à point nommé » — SPECTACLES SÉLECTION

Et si la société dans laquelle nous vivons aujourd’hui découlait des pensées diaboliques d’un homme : Tartuffe, le manipulateur par excellence ? Le chef d’oeuvre de Molière s’achève par l’arrestation de Tartuffe dans la maison d’Orgon. Il est jeté à la Bastille dans une geôle sombre et glaciale. Vingt ans plus tard, Tartuffe cherche à sortir de prison. Pour convaincre Louis XIV de le libérer, il va imaginer notre monde moderne et sa fabrique à inégalités. Molière et Elmire arriveront-ils à l’empêcher d’arriver à ses fins ?

Création originale Avignon OFF 2021, Tartuff’ries est une comédie satirique en alexandrins dans laquelle les auteurs font le parallèle entre notre société actuelle et celle du 17ème siècle. Entre bouffonnerie jubilatoire et texte humaniste, Tartuff’ries dénonce le système hypocrite de l’époque de Molière et par la même le nôtre !

« On rit beaucoup, on réfléchit énormément, on s’amuse, on se divertit et on se surprend à la fin de la pièce à se dire que rien n’a vraiment changé depuis Molière » — LA PROVENCE
« De quoi conquérir le coeur d’un public qui ne cache pas sa satisfaction en sortant de la salle »   — LA MARSEILLAISE 
« …un rendez-vous à voir d’urgence pour éviter d’être emprisonné dans la maison des duperies, les nôtres et celles des autres ! » — L’ECHO REPUBLICAIN 

À travers un show explosif, percussif et exclusivement féminin, « LAY THIS DRUM! » interroge la question du « genre » dans notre société moderne et déboulonne les clichés avec puissance et un brin d’impertinence.
« LAY THIS DRUM! » offre un regard rythmé et poétique sur l’identité dans le monde d’aujourd’hui avec pour réflexion de départ :
« Dis, c’est vrai que les femmes aussi savent jouer de la percussion ? »

« Pour leur premier spectacle, les percussionnistes de « Lay This Drum! » font vibrer la question du genre, des bidons d’essence au cages métalliques, des pneus de voiture au corps percutés. Un « girls band belge » de talent qui envoie du lourd » — PARIS MATCH BELGIQUE
« Elles sont 5, elles sont Belges et elles envoient du bois ! LAY THIS DRUM ! est un nouveau spectacle de percussions 100% féminin. Une première mondiale à ne manquer sous aucun pretexte ! » — MARIE CLAIRE
« Cinq filles qui vont faire du bruit ! Cinq nanas aux percussions pour démonter les clichés avec un peu d’impertinence et beaucoup d’énergie ! » —   L’AVENIR BRABANT WALLON

Immorale, scandaleuse, séductrice, effrontée, Juliette Greco a incarné le désir, la passion, mais surtout la liberté, au risque de choquer les mœurs de son temps.

Liberté de penser, d’aimer, de chanter, et de faire descendre la poésie dans la rue.
En choisissant d’interpréter Brel, Ferré, Maurice Fanon ou Bernard Dimey, celle qui revendiqua avoir « vécu comme un homme » et qui s’est toujours battue pour l’indépendance des femmes, a laissé parler les hommes de son temps de La Femme, une et multiple, avec admiration, cruauté parfois, mais toujours avec respect et surtout beaucoup d’humour…

Après son spectacle Barbara amoureuse, Caroline Montier a choisi d’interpréter le répertoire d’une autre grande dame en noir, elle aussi grande amoureuse. Toujours à son piano, accompagnée cette fois d’un contrebassiste, elle nous fait redécouvrir quelques joyaux souvent méconnus des plus grands poètes des années 60 et 70.

« Un sensuel et malicieux hommage » — ANNIE GRANDJANIN
« Un florilège délicieux… unique » — FRÉDÉRIC PEREZ
« Chanteuse remarquable et musicienne accomplie…
Ce spectacle est un superbe hommage » — MARTINE PIAZZON